Je me nomme Maillylli, naine paladine.
Mon enfance se passa à forgefer parmis les grands cavaliers paladins. Mes parents, ayant péris dans les premiers jours de ma vie dans les anciennes guerres contre les Orcs, me confièrent aux grands paladins de forgefer. Je fus alors formée dés mon plus jeune âge à la maitrise des voies de la Lumière. Informées d'un affrontement certain contre les orcs au sud de dun morogh, je fus emprise d'une passion soudaine, mon entetement me poussa à rejoindre la bataille malgrès les nombreuses interdictions de mon ordre. Je me déguisai alors de sorte que personne ne puisse me reconnaitre. Je connu alors le sang et la Terreur. N'étant pas préparée physiquement ni mentalement à de si terribles affrontements, je fus faite prisonnière de ces répugnantes créatures. Alors que je n'étais encore qu'une enfant, je dûs servir d'esclave à ces guerriers puants et méprisables. Je fus violée, torturée et mutilée; je servis ainsi de distraction pendant huit années entières. Je préparai alors ma vengeance certaine en forcant mon endurance et en canalisant mon esprit. Un jour ma maturité me permis enfin de mettre à excecution mes projets. Imprégnée d'une nouvelle force, j'invoque sur le camp orcs les forces puissantes de la lumières. Tous périrent, ou transpérsés par le pouvoir divin, ou sous mes coups meurtriers. Ma transe s'arreta alors et mes victimes apparurent à mes yeux imprégnés de sang.
Je rejoingnis alors ma grande cité natale en sachant que mon corps et mon âme étaient marqués à jamais de mon interminable avillissement.
Essayant alors de retrouver une vie honorable, je parcourais les montagnes enneigées de Dun morogh en défendant tous les oppressés qui croisaient ma route.
Je fis alors la connaissance d'un adorable nain paladin du nom de Guilbot, qui poursuivit ma formation du pouvoir de la Lumière. Ce fut pendant longtemps mon seul ami et le seul à qui je pouvais me confier.
Naturellement, je le suivis au sein de l'Odre Du Griffon qui me parut suivre de nobles causes.
Le drame de mon enfance ne s'estompera jamais entièrement, il m'a rendu plus hostile et plus méfiante. Mais je n'oublierai jamais qu'il est dû à mon immaturité, à mon erreur...
MAILLYLLI.